Je n'ai effectué aucune recherche personnelle à propos de la Révolution à Lyon. Je reprend ci- dessous les éléments principaux de l'article de Wikipédia dans la mesure où ce moment de l'histoire a eu évidemment des conséquences sur l'histoire lyonnaise ultérieure et sans doute des séquelles dans la manière qu'ont les lyonnais de recevoir ce qui vient de Paris.
Lyon, sous la Révolution, connait un destin funeste en osant s'opposer en 1793 aux montagnards. Prise militairement, elle est sévèrement réprimée et sort de la tourmente révolutionnaire très affaiblie.
Les prémices de la Révolution à Lyon
À Lyon, la révolte des canuts de 1786 a préparé de manière originale les soubresauts révolutionnaires. Brutalement réprimée, elle a permis aux ouvriers en soie de se structurer, et surtout à le faire en secret. Des éléments populaires se regroupent, éditent des tracts pour mobiliser la population, font circuler des pétitions. À ce climat agité au sein des masses travailleuses se surimpose une très mauvaise année agricole en 1788, faisant grimper les prix et exacerbant les tensions. Lyon entre dans la période révolutionnaire en crise. Les années 1787-1788 sont difficiles pour l'industrie soyeuse, la production étant globalement divisée par deux.
En parallèle, les élites lyonnaises sont éveillées à la politique, dans un climat intellectuel propice aux réformes. De nombreuses personnalités ou sociétés évoquent et débattent des projets de Turgot, Maupéou ou Loménie de Brienne.
Les premiers temps révolutionnaires
La préparation des États généraux
Lors des assemblées préparatoires à la convocation des états généraux, nombreux sont dans l'élite lyonnaise qui souhaitent de nombreuses réformes, tels Mathon de la Tour, Delandine, Berenger ; contre un groupe de modérés ou de conservateurs déterminés, comme l'archevêque Mgr Marbeuf. Dès cette époque, des coteries se forment, qui préfigurent les partis politiques de la Révolution.
Le 14 mars 1789, la première réunion des trois ordres a lieu à l'église des Cordeliers. Dès cette première réunion, des éléments nobles, ecclésiastiques et bourgeois proposent l'abandon de leurs privilèges pour résoudre les problèmes financiers du pays. Sur le moment, ils dominent les personnes désireuses de ne pas trop bousculer l'ordre établi. Les cahiers de doléances sont donc largement imprégnés des idées nouvelles.
En 1789, lors de la préparation des États généraux, le vote des représentants de la ville de Lyon à l'assemblée générale des trois ordres de la généralité révèle la coupure irrémédiable entre les tisserands et les marchands. Aucun représentant de ces derniers n'est élu en février 1789, seuls ceux des maîtres-ouvriers se rendent aux États généraux. Parmi les 34 élus, la plupart sont des meneurs des protestations de 1786, dont Denis Monnet. Dans les cahiers de doléances, ils expriment leur volonté d'une organisation plus juste, désignant les maîtres-marchands comme étant les responsables de leur misère.
Les élus de la Sénéchaussée de Lyon aux États généraux sont Jean-Jacques Millanais, avocat au présidial, franc-maçon ; Jean-Baptiste Périsse-Duluc, imprimeur-libraire, franc-maçon ; Goudard, négociant et Couderc, banquier, protestant.
Lyon et le début de la Révolution
Durant les premiers mois révolutionnaires, comme à Paris, les masses populaires débordent régulièrement la bourgeoisie libérale, que ce soit celle de l'autorité municipale comme celle qui tient les clubs. Le 29 juin 1789, à l'annonce de la fusion des trois ordres, une émeute prend d'assaut les octrois, accusés du renchérissement des denrées, et cible de toutes les accusations en temps de disette. Le roi envoie des troupes pour rétablir l'ordre. Mais le 14 juillet, le château de Pierre Scize est pris. L'ordre est de nouveau rétabli de force.
Les tisserands obtiennent un tarif officiel en novembre 1789, et décident de se séparer des marchands en créant une communauté distincte à la Cathédrale Saint-Jean le 3 mai 1790. Ils fondent également de grands espoirs dans la loi du 16 juin 1791 qui supprime les corporations et leurs privilèges. En parallèle, les autorités tentent de protéger les soies françaises en établissant des droits de douanes.
Durant la Grande Peur, des pillages ont lieu contre des maisons nobles ou de propriétaires bourgeois. Pour rétablir l'ordre, une ébauche de garde nationale s'établit à Lyon. Finalement, les factions les plus avancées renversent le 7 février 1790 les milices de volontaires issues de la bourgeoisie, qui sont remplacées par la garde nationale. Imbert-Colonès, premier échevin, qui avait réprimé les révoltes précédentes, s'enfuit.
La Constituante fait de Lyon le chef-lieu du département de Rhône-et-Loire qui sera scindé en deux après l'insurrection lyonnaise de 1793.
Lyon de la Révolution à la rébellion
La nouvelle municipalité, modérée et dirigée par Palerme de Savy est immédiatement confrontée aux clubs radicaux, qui l'accusent d'être liée aux conservateurs de tous horizons. Ces groupes ont pour meneur Marie Joseph Chalier qui entretient et développe une atmosphère revendicative, et toujours plus révolutionnaire.
En face, un groupe de royaliste met au point un complot destiné à faire venir le roi à Lyon, à monter des armées de fidèles et à s'appuyer sur des forces étrangères pour renverser la constituante et revenir sur les avancées révolutionnaires. Le plan est lentement monté durant l'année 1790, mais il est éventé et échoue.
La même année, la division religieuse se met en place à Lyon, plus qu'ailleurs, car l'archevêque Marbeuf s'oppose vigoureusement et très tôt aux prétentions religieuses de l'assemblée nationale et à la constitution civile du clergé. Le 5 décembre 1790, il fait un discours solennel rappelant fermement que l'autorité sur le clergé ne vient que de lui et du Saint-Siège. Il refuse tout serment.
Les années 1789, 1790 et 1791 sont mauvaises pour les récoltes et l'économie. La masse populaire, qui en souffre, devient de plus en plus sensible aux thèmes véhiculés par les clubs démocrates au travers d'une presse combative. La nouvelle de la fuite du roi déclenche de nombreux troubles, essentiellement ruraux. C'est dans cette ambiance que les premières élections municipales portent au pouvoir une majorité rolandine, avec Louis Vitet comme maire, face à un directoire beaucoup plus modéré. Celui-ci est suspendu en décembre 1791 à la suite d'un conflit avec Chalier ; Lyon s'enfonce dans les troubles révolutionnaires. Le début de l'année 1792 voit encore poindre une disette, et pour prévenir de nouveaux débordements, des troupes sont massées près de la ville, ce qui ajoute encore à l'inquiétude. En août 1792, des agitateurs soulèvent une foule et massacrent une douzaine de personnes, neuf officiers de ces troupes et trois prêtres, il s'agit de l'évènement surnommé les septembrisades lyonnaises.
Avec l'exode d'une partie de la noblesse, la Fabrique perd logiquement une grande partie de sa clientèle. La crise s'installe avec l'inflation et la guerre, qui entrave le commerce. Les riches tissus façonnés sont remplacés par des tissus plus simples, unis, décorés de broderies.
L'apogée de cette radicalisation intervient lors des élections de novembre 1792, lorsque Chalier et plusieurs montagnards sont élus à la mairie. Toujours pas majoritaires, ils déploient une propagande violente pour tenter de rallier la population à leurs vues, en vain. Le 18 février 1793, une nouvelle élection porte Antoine Nivière-Chol au poste de maire, avec toujours une majorité de modérés. Mais l'agitation des jacobins lyonnais porte ses fruits. À la suite de troubles et de combats de rue, la Convention envoie trois des siens pour traquer les contre-révolutionnaires, avec pour ordre de monter sur Lyon une armée révolutionnaire. Plusieurs membres modérés de la mairie sont arrêtés. Grâce à l'intervention des trois conventionnels, les élections suivantes portent à la mairie une majorité de jacobins, avec Antoine-Marie Bertrand comme maire.
Enfin libres d'agir à leur gré, ils multiplient les décisions extrêmes et se trouvent très rapidement fortement impopulaires. Ils sont donc renversés dès le 29 mai 1793 par un coup de force des girondins. Avec ce retour à une majorité modérée, même si pleinement républicaine, Lyon se retrouve à contretemps, puisque quelques jours plus tard, c'est la gironde qui est mise hors la loi par les montagnards parisiens.
La nouvelle mairie, dont le chef est Jean-Jacques Coindre, est trop éloignée des idéaux jacobins au pouvoir, et la rupture est inévitable. Le 12 juillet 1793, la Convention décrète Lyon "en état de rébellion contre l'autorité légitime".
Les autorités lyonnaises, malgré les menaces d'un affrontement avec Paris, restent fidèles à leur ligne de conduite. Des procès condamnent Chalier et plusieurs de ces amis, lui-même étant exécuté le 16 juillet 1793. Devant l'avance des armées révolutionnaires, conduites par Kellermann, les autorités préparent un siège tout en lançant des appels à l'aide, qui restent sans réponse. La défense est organisée par Louis François Perrin, comte de Précy, qui édifie des redoutes, met en place une organisation défensive et mobilise une armée d'environ 12 000 à 14 000 hommes.
Le siège de Lyon commence le 7 août, mais les armées révolutionnaires ne peuvent assurer un blocus complet que le 17 septembre. Le siège commence par des duels d'artillerie et tentatives de prise de points stratégiques durant lesquels les lyonnais se montrent opiniâtres. Devant l'échec de ses premières tentatives, Kellermann décide de bombarder la ville pour saper le moral des habitants. Le pilonnage commence dans la nuit du 22 au 23 août pour ne cesser qu'avec la reddition de Lyon. Durant les premières semaines, cependant, les lyonnais tiennent toujours bon. Kellermann est remplacé fin septembre par Doppet, qui bénéficie dès son arrivée d'une trahison pour prendre sans combat une position stratégique à Sainte-Foy-lès-Lyon. Dès lors les positions lyonnaises ne sont plus tenables et après deux semaines de combat, Lyon capitule le 9 octobre.
Le 12 octobre 1793, le conventionnel Barère se vante de son succès en ces termes : « Lyon fit la guerre à la liberté, Lyon n'est plus. » Lyon prend ainsi le nom de Ville-affranchie. 1 604 personnes sont fusillées ou guillotinées, et plusieurs riches immeubles autour de la place Bellecour détruits. Durant de nombreux mois, la terreur jacobine s'abat sur Lyon, et les fêtes révolutionnaires ne mobilisent ni ne convainquent des populations traumatisées. Dans leur volonté de faire table rase, les vainqueurs suppriment l'école royale de dessin en 1793.
Le siège de Lyon en 1793 cause un exode terrible, qui obère largement les possibilités de production de la soierie lyonnaise ; d'environ 150 000 habitants, Lyon passe à 102 000 en 1794, et toujours 88 000 en 1800. La répression qui s'en suivi cause la mort de 115 des 400 entrepreneurs en soierie que compte la ville, qui s'ajoutent à un grand nombre d'émigrations de la part des maîtres soyeux souvent mal vus des forces populaires, départ pour certains d'entre eux définitifs.
Lorsque Lyon, le 1er août 1794 apprend la chute de Robespierre, elle bascule dans un nouveau cycle de violences vengeresses.
Dans une ville affaiblie, les autorités révolutionnaires ou civiles tentent de modérer les passions, mais rapidement, les jacobins sont recherchés et persécutés. Les bustes de Chalier sont détruits. Durant toute l'année 1795, Lyon est le théâtre de violences, dont les points d'orgue sont les massacres de personnes emprisonnées et en attente de jugement, toutes des anciens "mathevons", les jacobins lyonnais, dont Antoine Dorfeuille. Les autorités locales ne parviennent pas à maîtriser les mouvements de foule, et craignant une complicité, la Convention déclare à nouveau Lyon en état de siège, envoyant des troupes aux Brotteaux.
Malgré tout, des tentatives de reprendre un cours normal des activités ont lieu. Ainsi, une école de dessin, utile à la Fabrique de soierie, est créée en 1795 sous le nom d'« école de dessin des fleurs ».
Entre 1794 et 1799, le monde des marchands-fabricants se reconstitue grâce à l'arrivée de maisons qui travaillent dans d'autres villes françaises. Dès 1794, de Nîmes et d'Anduze arrivent les soyeux Laguelline, Ourson et Benoit. À la fin de la même année, Guérin s'installe, venant de Saint-Chamond.
Aux élections d'octobre 1795, ces craintes se voient renforcée par l'élection pour le premier Directoire de trois députés monarchistes constitutionnels, Pierre Rambaud, Mayeuvre-Champvieux et Paul Béraud. Aussi le directoire nomme-t-il à la tête de Lyon un républicain éprouvé, Paul Cayre.
Durant deux ans, jusqu'en 1797, un conflit larvé entre républicains et contre-révolutionnaires se tient dans toute la ville. Profondément divisée, celle-ci ne s'unifie pas autour des fêtes et des projets officiels. La population fréquente clubs et théâtres, où les rivalités s'expriment ouvertement et s'aiguisent. Les forces monarchistes parviennent, en 1797 à faire entrer au Conseil des Cinq-Cents Jacques Imbert-Colomès et Camille Jordan.
Ces derniers sont contraints à la fuite suite au coup d'état du 18 fructidor an V (le 4 septembre 1797). Les élections sont cassées dans le Rhône, des autorités énergiques remplacent les précédentes, accusées de ne pas avoir suffisamment combattu les contre-révolutionnaires. Durant les deux dernières années de la Révolution française, les autorités s'échinent sans succès à instiller l'idéologie républicaine à une population qui n'adhère pas. Elles tentent également de contrer les libelles monarchistes et contre-révolutionnaires, sans grand succès. Un dernier complot est ourdi en juin 1799 par l'anglais William Wickham, mais il sera arrêté par la victoire de Masséna à Zurich.
Durant ces années difficiles, pour faire face au manque de main-d'œuvre, les innovations techniques sont soutenues par l'État au travers concours et fondations d'écoles. En particulier, l'école de dessin est recrée en 1795 sous l'appellation d'« école de dessin de la fleur ». Les soyeux lyonnais vont chercher des idées auprès des ingénieurs anglais, au sein de la production de tissu en coton et cet élan participe de l'effort de mécanisation de l'outil de production qui aboutit au début du XIXe siècle à la mécanique Jacquart.
En définitive, les Lyonnais ne sont dans leur majorité pas des monarchistes fervents. Engagés dans l'idéal révolutionnaire des premières années, ils furent surtout traumatisés par le siège de Lyon et la répression qui s'ensuivit. Ils n'ont plus confiance dans les autorités parisiennes et veulent surtout retrouver la paix et la prospérité.
L'Église lyonnaise sous la Révolution
Comme la plupart des diocèses de France, celui de Lyon subit sévèrement l'épisode révolutionnaire, qui divise les consciences, affaiblit fortement les communautés religieuses de la région. L’archevêque de Marbeuf refuse de quitter son poste, fuit dès les débuts de la Révolution, et organise la résistance de l'Italie avec l'aide d'hommes déterminés sur place.
Un clergé qui se divise
À la veille de la Révolution, Lyon voit arriver à la tête du diocèse un archevêque conservateur, Mgr de Marbeuf. Dès la préparation de la réunion des États généraux, il se fait remarquer de l'opinion lyonnaise en s'inquiétant des troubles et du désordre que cette initiative engendre. Des groupes de lyonnais le raillent alors dans une mascarade, et il n'ose pas venir dans son diocèse, craignant que sa venue provoque des émeutes. Les évènements s'aggravant, il émigre rapidement, et Lyon ne voit pas de toute la Révolution celui qui luttera férocement contre elle.
Le clergé, dès la préparation des cahiers de doléances, se divise entre le clergé de second ordre et les vicaires et autres titulaires de bénéfices ecclésiastiques. Cette division est accentuée par le refus définitif de l'archevêque de la constitution civile du clergé et des serments. À partir de ce moment, il s'engage dans une opposition systématique envers l'église constitutionnelle et organise depuis l'étranger l'Église « légitime ».
Le remplaçant de Mgr Marbeuf est Antoine-Adrien Lamourette qui réside assez peu dans son diocèse, étant élu à l'Assemblée législative. Au début, dans les années 1791 - 1793, un grand nombre de prêtres restent dans le giron de l'Église constitutionnelle. Mais progressivement, au fur et à mesure des anathèmes prononcés par Mgr de Marbeuf contre les différents serments, de plus en plus de prêtres les refusent ou se rétractent. Durant cette période, toutefois, les deux clergés coexistent correctement, les mesures d'exil contre les réfractaires étant appliquées très souplement.
Déchéance de l'Église constitutionnelle et résistance de l'Église réfractaire
Tout change avec l'opposition de Lyon à la Convention et le siège de la ville en 1793. Tombée aux mains des révolutionnaires lyonnais les plus acharnés, les mesures antireligieuses se multiplient, avec la transformation de la Cathédrale Saint-Jean en temple de la Raison, des processions burlesques, la destruction de nombreux symboles publics religieux, l'arrestation de nombreux prêtres, notamment de nombreux constitutionnels. Cette première vague déstructure complètement l'Église officielle lyonnaise, qui ne s'en remet pas, et qui subit un deuxième assaut lors des persécutions de Fructidor. Après la mort de Lamourette, guillotiné en 1794, on attend 1797 pour lui élire un remplaçant, Claude François Marie Primat, qui, par crainte du climat local, ne viendra qu'en 1799.
Pendant toute la Révolution, un culte caché se développe et survit, massivement soutenu par la population, surtout dans les campagnes. Dès après la journée du 10 août 1792, un vicaire de Mgr de Marbeuf, De Castillon, rentre secrètement et prend contact avec l'abbé Linsolas. À eux deux, ils réorganisent secrètement le clergé légitime, entretenant une correspondance étroite et régulière avec l'archevêque resté en exil. De Castillon pris et exécuté à la fin de 1793, Linsolas tient seul jusqu'à la fin de la période révolutionnaire les rênes du clergé réfractaire lyonnais. Il développe une organisation pastorale complète, avec vingt-cinq missions réparties dans tout le diocèse, parvenant à construire un petit séminaire, et à jeter les bases d'un grand séminaire.
À la sortie de la période révolutionnaire, l'indifférence religieuse ou l'hostilité envers l'Église semble avoir nettement progressé. Dans les bourgs ouvriers (Roanne, Saint-Étienne, par exemple), encore très pratiquant avant, de larges pans de la population se sont éloignés de la religion. Très divisé, les deux clergés ne se rapprochent pas aisément, Marbeuf et Linsolas refusant toute conciliation avec les constitutionnels. Ainsi, à la mort de Marbeuf, en 1799, le diocèse est délabré et doit attendre trois ans pour retrouver un prélat qui entame le relèvement.
Bibliographie
André Pelletier, Jacques Rossiaud, Françoise Bayard et Pierre Cayez, Histoire de Lyon : des origines à nos jours, Lyon, Éditions lyonnaises d'art et d'histoire, 2007, 955 p.
Louis Trenard, La Révolution française dans la région Rhône-Alpes, Paris, Perrin, 1992, 819 p.
Bruno Benoit et Roland Saussac, Guide historique de la Révolution à Lyon : 1789-1799, Lyon, Éditions de Trévoux, 1988, 190 p.